L’oxydation catalytique

L'oxydation catalytique

Types d’industries

  • L’impression
  • Le bois (colle, peinture, fabrication de cuisines etc…)
  • Peinture
  • Le secteur pharmaceutique
  • Le secteur chimique
  • Le secteur aéronautique
  • Le secteur de l’automobile
  • L’industrie mécanique
  • L’industrie du recyclage
  • Le monde de l’huile et du gaz (dégazage)
  • Etc…

Objectif

Les solutions disponibles, généralement proposées pour traiter les émissions d’air industriel polluées au solvant, génèrent d’importants coûts de gestion annuels. Ceux-ci sont principalement dus à l’énergie nécessaire (oxydation thermique), le coût d’entretien et des pièces (oxydation thermique)ou le remplacement régulier du matériel primaire (filtres à charbon actif), ou enfin le maintien en état et la plage d’utilisation (biofiltres), rendant ces systèmes bien souvent plus chers dans les bilans.

TECHMAS est capable, bien entendu, de répondre à ces demandes de machines, puisqu’il présente aussi tout un volet de solutions plus “classiques”.

Il privilégie cependant nettement des solutions beaucoup plus efficaces en terme de consommation énergétique et de rentabilité générale. Nous restons persuadés que, en dehors de quelques situations exceptionnelles, ces systèmes sont applicables à la plupart des situations et beaucoup plus rentables.

Nous proposons deux solutions: le traitement direct, destiné aux concentrations plus lourdes, et le traitement indirect, destiné surtout à de plus faibles concentrations (absorption sur filtres à charbon actif, mais avec régénération des charbons du filtres quand celui-ci est saturé.

Les systèmes proposés couvrent parfaitement les besoins de beaucoup d’industries confrontées à des mélanges de solvants difficiles à séparer, ou trop solubles pour être séparés sans “pressure swing”.

Et lorsque les méthodes utilisées sont plus chères que le produit ou l’énergie récupérée …vous avez à trouver de nouveaux moyens offrant, eux, des économies d’énergie substantielles.

Utilisée généralement pour éliminer des solvants organiques, la méthode proposée oxyde ceux-ci à une température de, seulement 250 à 350°C ( alors que les oxydateurs thermiques doivent monter jusque 850°C pour éviter la formation de dyoxine).

L’oxydation catalytique étant une réaction exothermique, l’oxydateur rend, en neutralisant le solvant, une quantité très appréciable d’énergie sous forme de chaleur. Celle-ci permettra des gains substantiels grâce à leur réutilisation (sous forme chaude ou froide !) dans le processus industriel.

On atteint déjà le niveau d’auto-thermie à partir de +- 0.65 g de concentration (alors qu’on parle d’une concentration de 2.5 gr pour les oxydateurs thermiques.) La variation de concentration peut aller dans certains cas jusque 10 gr si nécessaire.

Le système ne relâche pas de NOx ni de CO, et n’a pas de flamme (à l’exception d’une flamme pilote, pour la sécurité).

Il prend très peu de place, est construit en métal de type Inox, et suivant les normes ATEX pour tout le trajet des solvants.

Il accepte sans problème des variations du flux et de la concentration.

En fonction de la réutilisation possible ou non de l’énergie calorifique dans le processus industriel, le système proposé sera à même de rendre une partie importante d’énergie, ou le client privilégiera un prix plus attractif avec moins de calories dégagées.

L’oxydateur catalytique est fourni sur skid, donc est facile à déplacer, peut être facilement adapté à d’autres caractéristiques de produits ou de flux, créant par là-même une valeur résiduelle très attractive par rapport aux autres systèmes.

Les caractéristiques principales du système proposé sont

  • Coûts énergétiques particulièrement bas
  • Auto-thermie à des concentrations très basses, de l’ordre de 0.75 gr
  • De faibles coûts de gestion annuels
  • Une récupération importante d’énergie sous forme de chaleur ou de froid (option)
  • Une haute valeur résiduelle
  • Construction en acier inox
  • Facile à installer et à déplacer
  • Facile à utiliser
  • Machine très compacte et facile à installer partout, même à l’intérieur d’un bâtiment si nécessaire

A la différence des systèmes cryogéniques, le solvant n’est pas récupéré sous forme liquide: le fabricant a remplacé la récupération de solvant par une récupération importante de calories.

But then how to produce energy, ensuring minimum operating costs, whatever the situation, including possible changes in flow or concentration?

Mais comment donc produire de l’énergie en étant assuré de contrôler les coûts de gestion au minimum, quelle que soit la situation, y compris en cas de variation de débit ou de concentration?

Et qu’entend on par «coûts de gestion minimums»?

Les incinérateurs classiques n’apportaient pas la solution, car toujours assez compliqués à gérer, réparer (technicien spécialisé), réguler (idem), déplacer si nécessaire, et chers à l’utilisation car pas (assez) souvent en auto-thermie.

De plus les réparations et changement de lits en céramique coûtent une fortune, et ils ne supportent en général pas les chlorés.

L’EZVOC offre déjà une auto-thermie à 0,75 g/Nm³, et assure celle-ci jusqu’à des concentrations de 10gr/Nm³.

Ce système, qui ne dégage ni CO ni NOX , fournit une énergie thermique constante qui permet non seulement de réchauffer, d’une manière classique, les locaux, mais, étant donné la température à disposition, permet d’utiliser cette énergie directement dans la production pour réchauffer les machines (flexographiques, héliogravure ou autre …), évitant ainsi des consommation de gaz ou d’électricité très importantes.

Les installations livrées ont été construites en suivant les directives ATEX, ce pour toutes les pièces en contact avec les solvants à traiter.

L’abattement très élevé permet de répondre et de satisfaire aux normes de limite d’émissions les plus sévères.

Pour montrer sa confiance dans la fiabilité de sa solution, le constructeur n’hésite pas à augmenter sa garantie de constructeur sur ses produits : 3 ans sur les catalyseurs et échangeurs de température.

Au niveau coût (achat) des installations, les niveaux des coûts sont souvent inférieurs à la plupart des systèmes efficaces du marché (pour un volume de traitement comparable.)

Niveau des coûts de gestion de telles installations : remarquablement bas, puisque le système est pratiquement constamment en auto-thermie.

Il se réduit à l’énergie du démarrage, (puisque nous devons mettre une chambre d’oxydation, beaucoup plus petite que celle d’un brûleur thermique, à une température de +/- 250 °C (au lieu des 850°C de l’oxydateur thermique.

Durée de vie de l’installation : particulièrement longue, car peu de pièces en fonction et très peu de contraintes mécaniques.

Ce système est livrable sous deux formes

  • Soit en tant que système de traitement direct des émissions : le flux d’air est alors directement oxydé par notre système, avec une excellente efficacité» plus de détails
  • Soit en tant que système de traitement « en batch » des émissions : à ce moment, un ou plusieurs filtres à charbon actif sont utilisés pour filtrer les émissions. Dès qu’un filtre est saturé, le système automatiquement , et dès qu’il est rempli, le système est utilisé pour l’adsorber très rapidement» plus de détails
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